Quelques bonnes nouvelles de la Planète

Nous sommes assaillis continuellement par de mauvaises nouvelles qui accroient notre tendance à l’anxiété et la peur . J’ai souhaité vous apporter quelques bonnes nouvelles sur la Planète .Le trou d’ozone se referme !Selon les derniers relevés de la Nasa (31 octobre 2017), le trou d’ozone au-dessus de l’Antarctique a atteint sa taille la plus petite depuis 1988.Il avait atteint sa taille maximum en l’an 2000 (29,86 millions de kilomètres carrés) et n’a fait que régresser depuis, pour ne plus faire que (19,6 millions de kilomètres carrés) aujourd’hui.C’est une réduction énorme, équivalente à la taille des États-Unis !Selon les scientifiques des Nations-Unis, nous allons éviter deux millions de cancers de la peau grâce à cette évolution positive, depuis l’interdiction des aérosols en 1987.Les pandas plus nombreux !Le grand panda est le symbole du WWF, et des espèces animales menacées. Sous Mao, la moitié des grands pandas ont été victimes de braconnage et destruction de leur habitat.Mais la courbe s’est désormais inversée. S’il n’y avait même plus 1000 pandas sauvages dans les forêts de bambou de Chine dans les années 1970, ils sont désormais 1864, soit près du double, un signe que les efforts de préservation portent leurs fruits.[2]Publicité pour le WWF, expliquant que le nombre de pandas en liberté augmente.Le Panda ne fait plus partie des espèces « menacées d’extinction ». Il est désormais dans la catégorie des animaux « vulnérables » car il demeure bien sûr des menaces sur son avenir.Les lamantins reviennent !Les lamantins sont de magnifiques mammifères marins, habitant la mer des Caraïbes et le Golfe du Mexique, le long des côtes de la Floride.Ils n’étaient plus que 1267 en Floride en 1991. Ils sont désormais 6300, une hausse de 500 % ! [3] En tout, ils sont désormais 13 000, et se portent beaucoup mieux grâce à l’amélioration de leur habitat et la diminution des menaces.Les autorités de protection de l’environnement envisagent aujourd’hui de les retirer de la liste des espèces en danger d’extinction.Les émissions de carbone n’ont pas augmenté depuis 3 ans et vont baisser en 2020 à cause du CovidSelon l’Agence Internationale de l’Énergie, les émissions de carbone sont restées stables en 2016, et ce pour la troisième année consécutive ! Cette tendance, qui avait été anticipée l’année dernière,[4] est aujourd’hui confirmée.[5]Cette stabilité est d’autant plus réjouissante que la richesse dans le monde a fortement augmenté pendant cette période. En Chine, où l’économie a fait un bond de 6,7 % en avant, les émissions de carbone ont baissé de 1,6 %. Les États-Unis ont fait encore mieux en diminuant leurs émissions de 3 %. En Europe, les émissions sont restées stables.« Ces découvertes renforcent le sentiment qui est en train de croître, qu’il est maintenant possible de jouir d’une croissance économique sans augmenter les émissions de dioxyde de carbone », commente le grand quotidien américain Washington Post.15 espèces d’animaux disparus… réapparaissent !On le croyait disparu de la surface de la Terre depuis 50 ans.Mais voici que le magnifique lézard Pinocchio a été redécouvert dans une forêt d’Équateur. Le brave lézard avait en effet décidé de traverser la route au moment où arrivait la voiture d’un ornithologue occidental, qui l’avait étudié dans une encyclopédie des espèces disparues !Le monde est vaste, beaucoup de zones de la Terre restent sauvages et difficiles d’accès. En dehors des plus gros animaux (éléphants, rhinocéros, ours…), il est très difficile d’être sûr qu’une espèce animale a réellement disparu.C’est pourquoi, parmi les espèces « éteintes », chaque année certaines réapparaissent. Ce fut le cas récemment pour le cerf du Cachemire, la baleine d’Omura, le chat marsupial moucheté, le tarsier pygmée (un singe des montagnes), le gecko huppé, le furet aux pieds noirs, la rainette des arbres de Jerdon (une grenouille), la moupinie du Jerdon (un oiseau), le kokani noir (une sorte de saumon japonais).[7]Le besoin en terres agricoles n’augmente plusÀ mesure que la population augmente, s’enrichit, consomme, on croit toujours qu’il va falloir de plus en plus de terres agricoles.C’est le contraire pour l’instant.Depuis 1990, de gigantesques zones agricoles d’excellente qualité en Europe centrale et orientale (Hongrie, Roumanie, Pologne, Biélorussie, Ukraine, Russie…) ont été mises en valeur, alors qu’elles produisaient très peu à l’époque du rideau de fer.Résultat : le besoin de terres arables pour nourrir une population a régressé. Selon la FAO (Organisation des Nations Unies pour l’alimentation), il ne fallait plus en 2009 que 35 % de la surface de terres arables nécessaires en 1961 pour une production agricole donnée.Actuellement, les études montrent que, si l’usage des terres arables au niveau global ne régresse pas encore, ce n’est pas à cause des besoins alimentaires.C’est parce que nous consacrons de vastes surfaces à la production de biocarburants rendus obligatoires par la réglementation : champs de maïs dans l’Iowa aux États-Unis, monoculture d’huile de palme en Indonésie, canne à sucre au Brésil.Sans cela, le besoin de terres arables serait en diminution, alors même que l’humanité n’utilise actuellement qu’un tiers des terres productives.Ajoutons à cela que le système collectiviste en Russie et en Europe de l’Est était aussi catastrophique pour l’environnement : disparition de la mer d’Aral, Tchernobyl, empoisonnement de l’air et des cours d’eau au mercure et au plomb, émissions massives de CO2 et de souffre dans des économies principalement basées sur le charbon et l’industrie lourde archaïque.De ce point de vue aussi, les choses évoluent plutôt dans le bon sens

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