Les publicitaires façonnent nos choix
L’OMS considère que le marketing pour les produits trop gras/salés/sucrés contribue à la pandémie actuelle d’obésité infantile.
Les enfants ont un pouvoir d’achat intrinsèque via leur argent de poche et l’utilise souvent dans les snacks et confiseries.
Ils sont les prescripteurs des achats familiaux et les parents achètent ce qu’ils demandent.
Ils grandissent et deviennent des consommateurs à vie.
L’exposition à ces aliments trop gras/sucrés/salés est associée à une consommation immédiate de 30 à 50 kcal par enfant et n’est pas compensée par une activité physique entraînant une prise de poids.
Dans les films pour enfants, près de la moitié des aliments correspondent à du fastfood,boissons gazeuses et bonbons.
Les solutions :
– modifier l’environnement publicitaire auxquels sont exposés les enfants et adolescents
– augmenter la consommation d’alimentation saine ( fruits et légumes etc…)
– privilégier la cuisine simple faite maison.
article extrait d’Aprifel ( Avril 2022 )